Voici quelques photographies que j'ai prises au cours de la campagne, accompagnées de ce que les candidats ont pu me confier:
François Hollande à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), le 7 avril 2012.
« Toute victoire a sa part de poison, il n’y a pas de victoire dans un contexte idéal »
« Je le mesure très bien, tout ce qu’il y aura de dureté, de pression des marchés, d’urgences à traiter. À la différence de 1981, cette victoire est sans attente immense, c’est quand même un changement considérable. »
(30 mars 2012)
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Jean-Luc Mélenchon dans la Rhône, le 7 février 2012.
« On revient de loin, tout ce qu’on fait, c’est de construire un mouvement à partir de peu de chose. »
« Je ne suis pas le gestionnaire d’un capital électoral. Cette campagne est un mouvement d’éducation populaire. »
(7 février 2012)
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Marine Le Pen en meeting à Strasbourg le 12 février 2012.
« Aujourd’hui, ma marge de manoeuvre est à droite, demain elle sera à gauche »
« Je suis ni droite ni gauche, il faut sortir de cette fracture droite-gauche, le vrai clivage est entre les nations et le mondialisme. Je suis sur la ligne des partis populistes européens qui se battent contre les deux totalitarismes du XXIème siècle, le mondialisme et l’islamisme qui se font mutuellement la courte échelle. »
(26 avril 2012)
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François Bayrou à Alençon (Orne), le 9 février 2012.
« Sarkozy va s’effondrer. Il pense que l’élection présidentielle se joue sur les passions les plus négatives. Mais le peuple français est raisonnable, il aura peur du chaos. Avant même cet épisode, j’étais bien positionné, les petits candidats allaient disparaître. Quant à Hollande, les Français n’aiment pas les favoris. »
(9 février 2012)
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