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« L'opinion avec la rue | Accueil | Européennes hors sol »

26 mars 2009

Commentaires

polluxe

"Main street" c'est plus glamour et plus positivement connoté que "populisme" qui a une charge négative. Comme quoi le vocabulaire a son importance ;-)

Demos

Les barackolâtres risquent de déchanter.
N'oublions pas qu'Obama, s'il fut le candidat d'Holywood, il fut aussi celui de Wall Street.

BOLINGO

L’économie subit sa plus grave crise depuis 1929. Les pistes que l'Europe empruntera pour en sortir dépendront avant tout des choix politiques qui seront réalisés. C’est pourquoi, en tant que citoyens, quelles que soient nos appartenances politiques, nous ne sommes pas indifférents à l’issue des débats internes qui se mènent au sein de l 'UE.

Nous sommes conscients que LAURENT FABIUS jouera un rôle décisif dans la constitution dans une alternance capable de déboucher sur une alternative réelle.Ainsi nous vous prions mr fabius de bien vouloir accepter d'être le porte drapeau du peuple de l'est et l'ouest d'Europe.

http://www.myspace.com/laurentfabiuspetition

Paulot

Quel Président Roosevelt ?

JLS

je vais sur des blogs économiques et politiques américains et je peut dire que les américains ont vraiment la haine contre la classe dirigeante.
A mon avis les américains sont en train de modifier leur vision du monde économique.
Mais aussi la passivité est effrayante, les partis politiques ne représentent que les très riches, même le parti démocrate, simplement que le parti démocrate est plus à gauche sur les sujet de société.

Il ne fut pas oublier qu'Obama à été financé massivement par Wall Street, comme d'ailleurs 5 autres candidats (Hillary Clinton, Fred Thompson, Mitt Rommney et Mac Cain).
Une partie de son equipe vient des banques d'affaires : Geithner, Summers...

Je pense que le populisme est inévitable, et pas forcement pire d'ailleurs que les élites actuelles, mais peut-être pas tout de suite, car Obama a encore du crédit et il n'y a encore aucune force structurée pour proposer autre chose.


valentin10

Salut je passe sur votre blog et je trouve qu'il y a plein de bonnes choses dessus !! Continuez comme ça surtout !
Faites tous un tour sur mon blog principal : valentin10.blogspot.com
Vous êtes tous les bienvenus quand vous le voulez ;-)

valentin10

Ce blog donne vraiment envie d'y retourner car les sujets y sont toujours intéressants et on y apprend énormément de choses, très jolies vos photos c'est un régal de les consulter.

A Levitre

Voici un film de 2 mn que jai filmé lors du meeting du Front de gauche à Caen le 30 mars dernier. C'est Jacky Hénin, tête de liste qui explique comment botter le cul à Sarkozy... Illarant et à diffuser largement. http://www.youtube.com/watch?v=roDkxg-b5xQ

BA

Samedi 11 avril 2009, le journal économique La Tribune publie un éditorial explosif en page 7 : « Banques : le grand mensonge ».

Cet éditorial de Philippe Mabille est tellement compromettant pour les banques qu’il n’apparaît pas sur le site internet de La Tribune. Les autres éditoriaux de Philippe Mabille sont tous sur le site de La Tribune, y compris son éditorial du mercredi 15 avril 2009, mais l’éditorial du 11 avril a été censuré.

Je recopie donc la fin de cet éditorial censuré :

« Banques : le grand mensonge.

Par un curieux retournement du destin, le climat boursier est, dans le même temps, redevenu favorable pour les banques. Un exemple frappera les esprits : le cours de la Société Générale s’est apprécié de 45 % par rapport au cours de 24,5 euros qui avait été proposé pour le plan de stock-options qui a tant scandalisé l’opinion. En déduire que la crise financière est derrière nous serait toutefois une grave erreur. Bien au contraire, le pire est encore à venir.

Le calcul est assez simple à faire : en janvier 2009, le Fonds Monétaire International prévoyait 2 200 milliards de dollars de pertes mondiales pour les bilans bancaires. Ce chiffre a été réévalué à 4 000 milliards de dollars, dont un tiers seulement a été comptabilisé. La conclusion coule de source : les banques ne disent pas la vérité sur la réalité de leur situation. Et les autorités financières sont complices de ce grand mensonge, pour éviter de créer la panique.

On le voit avec la forte tension qui règne aux Etats-Unis à propos des « stress tests » réalisés sur la solidité des banques américaines. Mentir pour la bonne cause, on retrouve là un peu le même scénario que celui du Crédit Lyonnais, où la Commission Bancaire et le Trésor avaient été accusés d’avoir fermé les yeux sur les comptes truqués de la banque publique.

Mais, cette fois, ce n’est pas une seule banque qui est en cause, mais toutes les banques mondiales en même temps. De sorte que celle qui saura masquer ses pertes le plus longtemps sortira grande gagnante du jeu de poker menteur qui va maintenant succéder au théâtre du G20. »

BA

Les résultats des banques américaines sont-ils crédibles ?

17/04/2009 18:34

Après Wells Fargo, Goldman Sachs et JP Morgan, Citigroup a lui aussi ébloui le marché aujourd'hui en annonçant des résultats à première vue plus que satisfaisants, avec un bénéfice de 1,6 milliard de dollars. Sera-ce la goutte d'eau faisant déborder le vase ? En d'autres termes, les quelques bémols entendus précédemment vont-ils engendrer un examen plus attentif et plus critique ? Il serait temps, car les zones d'ombre sont légion !

Après le feu d'artifice Wells Fargo, quelques analystes se sont demandés dans quelle mesure les résultats étaient flattés par l'assouplissement des normes comptables en vigueur aux Etats-Unis depuis la fin mars. Les banques ne sont en effet plus tenues à ce fameux mark to market, qui les obligeait à retenir pour valeur de leurs actifs les prix du marché, parfois très massacrés. D'où ces énormes dépréciations faisant chavirer le compte de résultats. La question est d'importance, car ce changement de normes comptables peut aisément transformer une lourde perte en joli bénéfice ! La question fut posée à Wells Fargo... qui a refusé de répondre.

Chez Goldman Sachs, une partie de l'embellie des résultats résulte d'un changement d'exercice comptable. Ce n'est pas une entourloupe de la part de la banque, mais une obligation légale. Il reste que cette modification a escamoté le très mauvais mois de décembre. Même si la situation fondamentale des banques américaines s'est améliorée, le caractère mirobolant des résultats annoncés doit visiblement être fortement relativisé. Au point que le prix Nobel d'économie Paul Krugman les qualifie aujourd'hui de " un peu ... comiques " dans sa tribune du New York Times.

Les résultats de Citigroup ne font pas exception, bien au contraire. On observe en effet que la banque de détail (Citigroup est le numéro 1 mondial) n'a rien rapporté au premier trimestre, tandis que la situation des cartes de crédit continue de se détériorer fortement, comme chez les concurrents. Outre des dépréciations d'actifs moindres, et peut-être insuffisantes, on relève aussi une véritable perle : une plus-value de 2,5 milliards de dollars résultant de la dépréciation de certaines créances.

Du fait de la situation toujours préoccupante de la banque Citigroup, les investisseurs infligent en effet une décote à ses titres de créance. Si la banque les rachetait aujourd'hui sur le marché, elle s'épargnerait un remboursement ultérieur de 2,5 milliards de dollars, ce que la législation comptable lui permet d'ajouter à son bénéfice. Ou plutôt à sa perte de 900 millions, car telle serait la situation sans cet élément providentiel. En d'autres termes, si Citigroup avait été en bonne santé, ses créances ne seraient pas dépréciées à ce point, elle n'aurait pas pu afficher cette plus-value virtuelle, et elle aurait donc été en perte ! Cherchez l'erreur...

Guy Legrand.

http://www.trends.be/fr/economie/banque-et-finance/12-1636-47782/les-resultats-des-banques-americaines-sont-ils-credibles--.html

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France Identitaire

  • Je publie le 2 février 2012 "La France identitaire - enquête sur la réaction qui vient" aux éditions La Découverte. Un site est consacré à ce livre où vous trouverez la quatrième de couverture, la table des matières, l'introduction et une revue de presse qui sera mise à jour progressivement. Vous pouvez lire aussi des extraits du chapitre consacré à la gauche publiés sur Slate.fr.

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